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Brigitte Bardot...exposition à l'hôtel du château de la Méssardière

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Carton d'invitation pour la soirée inaugurale de l'exposition "Best of Brigitte Bardot"

Brigitte Bardot...exposition à l'hôtel du château de la Méssardière
Brigitte Bardot...exposition à l'hôtel du château de la Méssardière

Saint-Tropez célèbre ses deux icônes, BB et Louis de Funès

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Brigitte Bardot, détail affiche de "Et Dieu créa la femme", Roger Vadim, 1956

Brigitte Bardot, détail affiche de "Et Dieu créa la femme", Roger Vadim, 1956

~~Brigitte Bardot soufflera ses 80 bougies le 28 septembre, Louis de Funès vedette voici 50 ans du premier opus de la série des gendarmes aurait eu un siècle le 31 juillet. Saint-Tropez rend hommage durant l'été à ses deux grandes icônes qui font encore courir les touristes.

~~"J'aime cette femme qui donne tout aux animaux, j'aime son sourire simple et vrai", confie Jos van Riel, touriste néerlandais en pâmoison, qui mitraille l'exposition de photos "Brigitte for ever" sur la place des Lices. A l'entrée du village, Jarek Bukowski et sa fille Monika sont en extase devant le vieux bâtiment décrépi et fermé de la "Gendarmerie Nationale". "J'ai fait 2.000 km de Poznan en camionnette pour voir cet endroit. Louis de Funès est fantastique et la série des gendarmes très populaire en Pologne", précise-t-il en faisant la queue pour prendre des clichés. L'ancien village de pêcheurs attire chaque année 6 millions de visiteurs de 85 nationalités. "C'est une année particulière, on s'appuie beaucoup sur le patrimoine culturel", reconnaît Claude Maniscalco, directeur du tourisme. "Saint-Tropez n'a pas attendu Bardot pour être connu, c'était déjà le Saint-Germain-des-Prés de Méditerranée. Mais elle a amené un coup de projecteur grand public sur Saint-Tropez, devenu une marque valorisante, glamour et sensuelle, installée dans l'inconscient collectif", analyse-t-il. Louis de Funès a ensuite pris le relais dans un registre plus léger.

~~Saint-Tropez mettra à l'honneur son plus populaire gendarme du 27 août au 18 septembre, place des Lices. Photos, vidéos, affiches donneront une idée du futur "Musée de la gendarmerie et du cinéma", qui ouvrira ses portes en 2017 dans la vieille gendarmerie mitraillée par les touristes. Le musée doit aussi rendre hommage à la centaine de films tournés à Saint-Tropez, sans oublier ceux de BB.

Source : Cliquez ICI

"Brigitte for ever", des photos qui rendent hommage à BB à Saint-Tropez

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Exposition Brigitte Bardot à Saint-Tropez

Exposition Brigitte Bardot à Saint-Tropez

~~Alors qu'elle fêtera ses 80 ans le 28 septembre prochain, Brigitte Bardot est à l'honneur à Saint-Tropez dans une exposition photo qui lui est consacrée. Des clichés différents de ceux qui ont pu être proposés auparavant et réalisés par un ami photographe. Immortalisée chez elle ou lors de ses combats pour la cause animale, la star se dévoile en tout simplicité, jusqu'au 2 septembre prochain.

~~Cette exposition, en exclusivité mondiale, devrait permettre à tous les fans de l'actrice et chanteuse de découvrir Brigitte Bardot autrement, dans son intimité. C'est également l’occasion d’accueillir certains proches de la star. Au programme, une conférence de Henry-Jean Servat, journaliste et intime de BB. Bruno Jacquelin, de la Fondation Bardot, est aussi attendu pour présenter un film sur les principales actions et combats remportés par Bardot, militante active de la défense animale durant ces 30 dernières années. A noter qu'à l'occasion de cet anniversaire, une autre exposition, cette fois d'objets de la collection Bruno Ricard, l’un des plus grands fans de BB, sera proposée au public au Château de la Messardière, du 29 août au 25 octobre 2014. "Brigitte For Ever" de Gérard Schachmes Exposition à la salle Jean Despas, Saint-Tropez Jusqu'au 2 septembre 2014

Source : Cliquez ICI

Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014

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Dans le figaro magazine de ce jour "16 08 2014" Brigitte Bardot..

12 pages 15 photos

Bruno Ricard

Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014
Brigitte Bardot dans le Figaro magazine du 16 08 2014

Années 60.Saint-Tropez.Des"Stars d'antan" aux "people d'aujourd'hui"...

1971 : Bardot érotise la République en prêtant ses traits à Marianne

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1971 : Bardot érotise la République en prêtant ses traits à Marianne

~~ P our ses 70 ans, Midi Libre propose de donner un coup de projecteur sur une année de 1944 à 2014. Revivez les temps forts de l'année 1971. 1971 : quand Bardot érotise la République Marianne se trouve une ambassadrice de choc en la personne de Brigitte Bardot. Pour la première fois depuis la création de ce symbole au lendemain de la Révolution, une personnalité va lui prêter ses traits, et ses courbes.

~~Réalisé par les ateliers de moulage du Louvre en 1969, le buste de Marianne-Bardot est diffusé à partir de 1971. Exécutée par Alain Aslan en 1969, la statue est en quelques mois acquise par 8 000 des 36 000 communes françaises. Midi Libre la met en une le 12 mars, quelques jours avant les élections municipales.

Source : Cliquez ICI

Saint-Tropez : dans le sillage des fans de BB...

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Angèle et Jeanne, la nouvelle génération BB.

Angèle et Jeanne, la nouvelle génération BB.

~~Sur le livre d'or, des témoignages d'amour à la pelle : « Toutes les femmes ont voulu vous imiter » (Claire), « La dame de cœur », « Maravihoso » signe José de Buzios (Brésil) où Brigitte a laissé son empreinte. Depuis l'ouverture le 26 juillet, l'exposition « Brigitte for ever » consacrée à Bardot attire les foules, salle Despas. Elle prouve, une fois encore, la fascination qu'exerce la star auprès des Français et touristes du monde entier. Pourtant, rien de son passé de sex-symbol ne transparaît dans ces clichés. Les portraits de Gérard Schachmes offrent plutôt un focus sur la période 1990-2000, principalement des instants de vie quotidienne, entourée par ses animaux. Les jardins secrets de BB dévoilés Chez tous les visiteurs, la même flamme qui brille dans leurs yeux à l'évocation de leur idole. Sans réserve. Même la nouvelle génération, pourtant éloignée par le temps de ce qu'elle a pu incarner, lui voue une réelle admiration. Souvent par atavisme, la passion envers BB se transmet au sein des familles en lisant l'un de « ses ouvrages, pour la jeune Angèle. On disait même que ma grand-mère lui ressemblait. Moi, je trouve qu'elle touche toutes les générations. C'est une icône », tranche-t-elle. Icône, le mot est lâché. Comme si en se retirant de la vie publique, il y a plus de quarante ans, BB était devenue une image statufiée, inscrite dans l'inconscient collectif. Mais chacun picore et retient de BB, le bout d'histoire qu'il veut. Pascal et Viviane sont venus respirer le parfum de leurs 20 ans : « C'est toute notre jeunesse ». D'ailleurs, il aurait préféré une expo « avec une chronologie plus longue ». Plutôt que « Brigitte for ever », ce rendez-vous aurait dû s'intituler « Bardot en toute intimité », tant les clichés entrouvrent la porte sur son jardin secret. Surtout en compagnie de ses animaux, sur le ponton et dans son salon de la Madrague, ou sur les collines de sa propriété de la Garrigue. Pour Pascal, elle restera un modèle à part : « Elle représentait l'idéal féminin... et cela perdure ! » Alors pas question de quitter les lieux sans une ''relique'' dans la boutique qui clôture le parcours. « Je me laisserai bien tenter par un portrait », avoue Viviane. Qu'est-ce que vous voulez, semble-t-elle dire, « on est fan ! » Icône intemporelle BB, deux initiales synonymes de vent de liberté aussi. « Elle représente beaucoup, reconnaissent Magali et Brigitte, venues d'Aix-en-Provence, comme en pèlerinage. « Admirée », elle les a fait rêver, « car elle a fait ce qu'elle a voulu de sa vie ». Encore plus quand elles découvrent en images, « la simplicité de la Madrague ». À l'issue de la visite, Salomé, ado souriante, fige sur le livre d'or son amour pour Brigitte. Pour sa maman, Valérie, l'émotion est palpable. « On vient des Vosges. On m'appelle la BB locale dans le village. Chaque été, depuis vingt ans, « je vais me baigner près de la Madrague. Sans la voir, je ne sais même pas si elle est là. On ne veut pas l'importuner de toute façon », les yeux humides au fur et à mesure qu'elle parle de son modèle. Éblouie par cette femme qui « a quitté ce monde du show-biz, des paillettes pour se consacrer aux animaux. » L'air imaginé par Gainsbourg pour Bardot Je t'aime, moi non plus flotte à présent dans la pièce. Pour ses fans, ce serait plutôt ''Je t'aime'', tout court.

Source : Var Matin Cliquez ICI

N'OUBLIEZ PAS DU 29 AOUT AU 26 OCTOBRE : EXPOSITION BRIGITTE BARDOT....

Hôtel du château de la Messardière !

Saint-Tropez : dans le sillage des fans de BB...
Saint-Tropez : dans le sillage des fans de BB...

Saint-Tropez...Exposition Brigitte Bardot dans le journal de 13h00 de TF1

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  • Saint-Tropez...Exposition Brigitte Bardot dans le journal de 13h00 de TF1
  • Pour consulter le reportage sur Saint-Tropez et le reportage sur Brigitte Bardot et les expositions, cliquez ICI Le reportage commence à 28mm et 26secondes et dure jusqu'à 30mm et 49 secondes
  • Merci à Eva pour cette information!
Saint-Tropez...Exposition Brigitte Bardot dans le journal de 13h00 de TF1

Brigitte Bardot en couverture de Paris Match...

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Brigitte Bardot en couverture de Paris Match...de cette semaine !

Celle qui imposé la femme moderne avant de devenir une légende fêtera en septembre ses 80 ans. Elle a reçu Paris Match chez elle, à la Madrague.

L’odeur des eucalyptus verts et des lauriers roses accompagne mes pas sur l’allée de gravier qui conduit à «La Madrague». A droite, à l’ombre des oliviers, une centaine de petites tombes et des noms de compagnons à quatre pattes. Dans le grand salon blanc m’attend Bri, notre Bardot. Autour d’elle mille souvenirs d’une vie. Amincie et souriante, appuyée sur ses cannes elle conserve encore et toujours cette silhouette unique d’où émerge cette élégance corporelle incomparable. Elle dégage une énergie et une bonne humeur communicatives à travers nos cinquante-quatre ans d’amitié. Deux petites fleurs rouges du jardin soulignent ses cheveux joliment relevés. Près de la cheminée, sur le mur, le symbole des années Match. Telle une mosaïque de photos réduites les 39 couvertures que le journal lui a consacrée. Une vie complète de star de 50 centimètres sur 60 centimètres. Par la baie vitrée le ponton aujourd’hui vide s’avance vers la mer. Les lèvres de la plus célèbre moue planétaire ne connaissent plus le goût du champagne, mais celui du cidre rosé que nous partageons. Paris Match. Tu es le symbole d’une certaine émancipation féminine. Si tu faisais le point, une fois pour toutes ? Brigitte Bardot. Le point sur quoi ? L’émancipation des femmes, je n’y suis pour rien. J’ai vécu comme j’en avais envie et je continue, mais je suis à la fois libre et dépendante de l’homme que j’aime. Quel regard jettes-tu sur le temps qui passe ? Je respecte la loi naturelle de la vie, sans la contredire. Le temps m’a beaucoup appris. J’essaie de transmettre, je suis sereine. Dans « La vérité » de Clouzot, tu interprètes une femme qui tue par amour. Ce rôle te ressemble-t-il ? Un peu, sauf que je n’ai tué personne. Je l’ai joué à ma manière, passant, comme dans ma vie, de l’impertinence à la grande détresse. J’ai failli en mourir. Ta détermination a souvent dérangé les bien-pensants. As-tu évolué ? Je continue à choquer les simples d’esprit, les médiocres et les sectaires. Je dirai toute ma vie ce que je pense, que ça plaise ou non. "J'ai souffert du manque de liberté que m'imposait cette célébrité encombrante" Comment réagissais-tu devant la “bardolâtrie” ? Ça m’est passé bien au-dessus de la tête. Ce sont les autres qui ont inventé ces trucs-là. Moi, j’ai toujours vécu de la même façon, ne me prenant pas au sérieux et souffrant souvent du manque de liberté que m’imposait cette célébrité encombrante. As-tu aimé comme tu le désirais ? Oh ! oui. J’ai aimé beaucoup, passionnément, à la folie et pas du tout, mais j’ai aimé et je continue d’aimer. C’est dans ma nature. Je pose tes hommes et n’en retiens qu’un. Lequel ? Le prochain. Toi qui fus le visage de Marianne, te sens-tu profondément française ? Je suis française “de souche lointaine” et fière de l’être. Je déplore simplement que mon si beau pays se détériore à tous les points de vue. C’est criminel de le soumettre à la bassesse. Si Marine Le Pen arrive aux responsabilités, accepterais-tu un poste de conseillère pour la protection du monde animal ? Marine sait ce qu’elle doit faire et n’a pas besoin de mes conseils. Je souhaite qu’elle sauve la France, elle est la Jeanne d’Arc du XXIe siècle ! Sincèrement, que t'inspire l'approche de tes 80 ans ? Ma vie est tellement remplie que je n'ai pas le temps d'y penser. Les autres y pensent pour moi. Je vis au jour le jour. Christian Brincourt est l’auteur, avec Marc Brincourt, de « Brigitte Bardot, la petite fiancée de Match », éd. Glénat.

Source : Paris Match : Cliquez ICI

Brigitte Bardot en couverture de Paris Match...

Brigitte Bardot, icône intemporelle de Saint-Tropez

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Brigitte Bardot, icône intemporelle de Saint-Tropez

~~ Deux expositions à Saint-Tropez rendent hommage à l'actrice. Il y a cinquante-huit ans, Brigitte Bardot, la vingtaine, faisait des débuts remarqués à l'écran dans « Et Dieu...créa la femme », tourné dans les décors naturels de Saint-Tropez. Deux ans plus tard, l'actrice en fait son lieu de villégiature et participe au mythe de la station balnéaire, désormais fréquentée par la Nouvelle Vague et les stars des années Yéyés. Très discrète depuis la fin de sa carrière au cinéma, la comédienne fait encore figure d'icône à Saint-Tropez, comme en témoigne cette nouvelle exposition du 29 août au 26 octobre 2014 au Château de la Messardière. Des clichés rares y seront dévoilés, pris dans l'intimité de la star, et issus de la collection privée de Bruno Ricard, un des plus célèbres collectionneurs et admirateurs de Brigitte Bardot. Le temps de l’exposition, il mettra à disposition des visiteurs quelques unes des plus belles pièces de sa collection : affiches de films originales, disques vinyles, couvertures de magazines internationaux, objets à l’effigie de l’icône. L'événement coïncidera avec le quatre-vingtième anniversaire de la star, le 28 septembre prochain. Preuve de la popularité de l'actrice, une autre exposition lui rend hommage depuis le 27 juillet, dans la Salle Jean Despas à Saint-Tropez. L'événement, intitulé « Brigitte For Ever », rassemble des clichés inédits de Gérard Schachmes, un ami de l'actrice. Brigitte Bardot a ouvert au photographe les portes de son quotidien, des années 80 à nos jours. Au fil de l'exposition, on découvre Brigitte Bardot et son mari dans leurs propriétés tropéziennes de La Madrague et de la Garrigue ou encore la star au travers de ses nombreux combats pour la cause animale. Trois décennies d'images qui feront également l'objet d'un livre à la rentrée, « Brigitte après Bardot », publié aux Éditions du Cherche Midi. « Brigitte For Ever », Salle Jean Despas à Saint-Tropez, jusqu'au 2 septembre. « B.B. :Best Of Bardot » au Château de la Messardière, jusqu'au 26 octobre.

Source : Les Echos.fr Cliquez ICI

Brigitte Bardot...nouveau livre...

UNA de Saint-Tropez...une artiste de grand talent!

Exposition Brigitte Bardot à l'hôtel du château de la Mesardière

Brigitte Bardot dans "Info de stars"...

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Brigitte Bardot dans "Ino de stars"...paru avant hier, vendu en kiosque à 1,90 euros.

Merci à Bijou K pour cette informations...

Bruno Ricard

Brigitte Bardot dans "Info de stars"...
Brigitte Bardot dans "Info de stars"...
Brigitte Bardot dans "Info de stars"...
Brigitte Bardot dans "Info de stars"...

Brigitte Bardot en photos du pur bonheur...


B.Bardot : la légende Saint-Tropez...EASY VOYAGE en parle!

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Du 29 août au 26 octobre 2014, le Château de la Messardière de Saint-Tropez accueille l'exposition " B. B. : Best of Bardot ".

Cette exposition intimiste rendra hommage à l'icône Brigitte Bardot, à l'occasion de son 80ème anniversaire, en septembre prochain. Des clichés inédits et des trésors de la collection privée de Bruno Ricard, le plus célèbre collectionneur et admirateur de Brigitte Bardot, feront entrer les visiteurs dans l'intimité de l'emblématique star tropézienne. Deux moments forts marqueront l'exposition au Château de la Messardière. Le samedi 30 août aura lieu le vernissage de l'exposition et le samedi 27 Septembre sera dédié au soutien aux animaux, avec la présentation de la fondation Brigitte Bardot, en présence de Bruno Jacquelin, responsable de la communication de la fondation, et Alain Bougrain Dubourg, journaliste et président de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, dont le Château de la Messardière et son domaine de 10 hectares est un des sites classés en France. Peut-être également la présence d'autres grandes stars?

Source : EASY VOYAGE ! Cliquez ICI

B.Bardot : la légende Saint-Tropez...EASY VOYAGE en parle!

Brigitte Bardot...rares photographies

Brigitte Bardot...DVD "Bardot la méprise"

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Brigitte Bardot...DVD "Bardot la méprise"...sortie en DVD

Documentaire auquel j'ai participé de très près, certain blogs ou sites oublie de le souligner, ce n'est pas grave, j'ai l'habitude...

Bruno Ricard

L'EUPHORIE ET LA MÉLANCOLIE Brigitte Bardot

Propos recueillis par Sylvie Dauvillier : Source : Cliquez ICI

Comment a débuté ce projet sur Brigitte Bardot ?

David Teboul : Gaumont me l’a proposé et j’ai accepté avec enthousiasme. J’avais envie de réaliser un film sur sa légende, au-delà du stéréotype auquel elle est associée, et de raconter la manière dont elle est entrée dans l’histoire du cinéma, en y mêlant la sienne. Je voulais qu’il prenne la forme d’un dialogue entre elle, personnage de fiction se livrant dans ses Mémoires - dits par Bulle Ogier -, et le cinéaste amoureux que j’étais. Car Bardot a occupé mon enfance et mon adolescence, et nourri mon imaginaire érotique. Quand j’avais 7 ans, mes parents m’ont offert un album, Brigitte Bardot, amie des animaux que je feuilletais tous les soirs. J’étais fasciné, tant par les grands mammifères que par la femme qui s’en approchait. En cette fin des années 1970, on voyait peu ses films. Puis j’ai grandi, aimé le cinéma, et, en découvrant Le mépris de Godard, j’ai à nouveau éprouvé un choc.

Qu’aviez-vous envie de montrer du personnage ?

Derrière l’euphorie, la profonde mélancolie qui traverse Bardot et qu’a su révéler Godard. Il a saisi quelque chose de très intime chez elle. Car en la débarrassant de tous les artifices, il l’a transfigurée. Je voulais aussi montrer sa part d’enfance, omniprésente, qui explique ses liens avec les animaux. Son désintérêt enfin pour le cinéma - cette manière de vouloir à tout prix contrarier son destin d’actrice - m’a beaucoup intéressé, comme le fait qu’elle soit passée à côté de la Nouvelle Vague, tout en l’inspirant. Aujourd’hui, Bardot est très loin du cinéma, et en même temps, elle vit totalement dans sa légende, entourée de photos d’elle et de reproductions de magazines, dans ce rapport d’amour-haine qu’elle n’a jamais cessé d’entretenir avec son image.

Comment s’est passé le contact avec elle ?

Après un premier rendez-vous manqué, j’ai été extrêmement bouleversé quand je l’ai rencontrée, une seule fois, à Saint-Tropez. Elle s’est alors beaucoup protégée et il a fallu la convaincre. Mais elle m’a dit quelque chose d’extraordinaire : "En ne voulant pas être dans votre film, je vous fais un cadeau." J’ai compris qu’il fallait que je construise le récit sur cette absence. Elle m’a, en revanche, laissé libre accès à ses maisons de La Madrague et de La Garrigue, comme à toutes les archives de son père. Et dans ce décor qu’est son intérieur, j’ai eu le sentiment de replonger dans les années 1960, avec une sorte d’étrangeté. Le tout constituait la matière cinématographique d’un film sur un fantôme vivant, sur le présent d’un passé. La tension du film repose sur une incertitude : on a le sentiment qu’elle peut surgir à tout moment.

Les images tournées par son père recèlent des trésors…

Son père aimait le cinéma, et l’a filmée depuis ses premiers jours jusqu’à ses 15 ans. Après avoir cherché à se dérober, Brigitte se tourne vers la caméra vers l’âge de 7 ans pour en devenir prisonnière. Magnifiques, ces images montrent une petite fille de la grande bourgeoisie, pas spécialement jolie, sa sœur cadette, et surtout une mère, belle, élégante et froide, qui va énormément compter dans sa vie et avec laquelle elle va entrer en concurrence. On voit aussi comment la danse lui permet de fuir l’univers familial et de s’émanciper, même si le cinéma la rattrape à travers son désir pour Vadim. Et ce gourou, dont elle est amoureuse et qui la désinhibe, réalise Et Dieu créa la femme, un accident qui deviendra le phénomène que l’on sait.

Vadim, Trintignant, Sami Frey entre autres… Brigitte Bardot n’a-t-elle pas été d’abord une grande amoureuse ?

Absolument. Brigitte Bardot a toujours privilégié ses amours au détriment de son métier. Elle vit dans l’instant de ses passions. Dévorée par le désir, elle croit aimer, mais s’ennuie très vite. D’où cette course impossible qui la conduit en permanence de l’euphorie au désenchantement, d’extases en déceptions. Enfermée dans cette insatisfaction, elle est incapable de construire. Le film s’achève sur la passion qu’elle éprouve pour Gainsbourg. Une belle histoire, comme le dernier train qui aurait pu l’emmener ailleurs et lui permettre d’échapper à ses démons, ces dieux de l’inconscient.

Comment expliquez-vous son insolente liberté pour l’époque ?

Elle tient essentiellement à son rapport naturel au corps, qui n’existe alors chez aucune autre actrice de sa génération. Bardot est une conservatrice transgressive, d’où la puissance qui émane d’elle.

Brigitte Bardot...DVD "Bardot la méprise"
Brigitte Bardot...DVD "Bardot la méprise"

Parisd Match : "Et Dieu créa... Brigitte Bardot"

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Mai 1957. Brigitte Bardot prend la pause à l'occasion du 10e Festival de Cannes.

Mai 1957. Brigitte Bardot prend la pause à l'occasion du 10e Festival de Cannes.

L'actrice a imposé la femme moderne avant de devenir une légende. En septembre, elle fêtera ses 80 ans.

Au milieu des coquillages et des crustacés, comme née de la vague, sur la plage, seule mais pas abandonnée, elle était elle-même. Déjà. Avec son « itsi bitsi petit Bikini » de vichy rose, au cœur de Saint-Tropez, elle embrassait la légende. La sienne. Et aussi la nôtre. En une scène, elle entrait dans la Méditerranée et la mythologie du XXe siècle. « Cette année-là, j’étais moi. La voix, les vêtements, l’allure, les mots. J’étais ce que j’étais vraiment à l’époque, sans aucun faux-semblant. Je ne trichais pas. Je n’ai jamais cherché à paraître. » Brigitte, née à Paris le 28 septembre 1934, a alors 21 ans et demi. Starlette brunette, qui interprète en quatre ans une quinzaine de films franco-italiens, elle incarne une créature de complément, affriolante et appétissante. Une petite vedette qui, dotée de charme, de grâce et aussi de relief, se montre prête à s’envoler, couvée par son mari, le scénariste et assistant de cinéma Vadim Plemmianikov. Il semble que l’ordre du monde et le désordre des choses l’ont bel et bien menée là. En mai 1956. Sur cette petite plage d’un village de pêcheurs où elle a rendez-vous avec son destin.

Papa Bardot obligeait Vadim à suivre des cours de catéchisme avant qu'il n'épouse sa fille

Chics bourgeois du XVIe arrondissement, son père et sa mère lui ont inculqué des principes d’honneur et de droiture et fait apprendre la danse classique. « Gamine, je ne rêvais pas d’être actrice mais danseuse étoile. Je voulais acheter une ferme pour y soigner des animaux malades. » Papa Bardot obligeait Vadim à suivre des cours de catéchisme avant qu’il n’épouse sa fille. Le paysage barbote dans les conventions. L’époque est repue. Danielle Darrieux, Michèle Morgan, Micheline Presle, divines comédiennes avec permanente impeccable, ont l’allure de bibelots précieux. Martine Carol et Françoise Arnoul, exquises, montrent un arrondi de sein et un galbe de fesses, mais la libération sexuelle s’arrête là. Le monde est un aspic figé en sa gelée. Papa et maman Bardot partent en vacances avec leurs deux filles Bri et Mijanou, en fait Marie-Jeanne, au bord de la mer, emmenés par le train Bleu, qu’ils quittent en gare de Saint-Raphaël. La famille fait 100 mètres jusqu’à l’embarcadère où elle prend le bateau. Traversant la baie de Saint-Tropez, elle débarque dans le village de pêcheurs et escalade la rue des Remparts, qui frôle la si jolie petite plage. Après un arrêt petit déjeuner à l’hôtel de La Ponche, où Simonette apporte les fougasses chaudes, la famille s’installe pour l’été dans sa maison rose de la rue de la Miséricorde, non loin de la place des Lices. Brigitte connaît tout des lieux, du sens du vent aux couleurs des pierres. Lorsque, en mai 1956, Vadim l’emmène à Saint-Tropez pour y tourner son premier film comme réalisateur, elle est en pays de connaissance.

La créature du bon Dieu est faite pour être aimée, pour aimer

Avant de quitter le Festival de Cannes, où elle séjourne, elle se fait teindre en blonde, une nuit, dans le salon de coiffure du Carlton. Pour le film, elle garde et porte ses propres vêtements, dit un dialogue écrit par son mari, qui, n’ignorant rien d’elle, a mis dans sa bouche ses mots à elle. Brigitte joue Juliette, fille de l’Assistance, pourchassée par le désir des hommes et le démon du mambo. Brigitte, qui ne regarde jamais ses films et ne s’est jamais extasiée sur sa beauté, dit aujourd’hui qu’elle la trouve mignonne, cette fille, sur l’écran. Vadim en fait à la fois le symbole et le phénomène d’une époque qui desserre ses corsets et ses tabous. A sa plastique de rêve font cortège le ciel, le soleil et la mer. « Et Dieu... créa la femme », tourné avec des bouts de chandelle, au titre si prémonitoire, devient et l’écran et l’écrin de BB, initiales enflammant vite le monde entier. Mêlant l’angélisme et la sensualité, Brigitte, qui préfère faire l’amour plutôt que de festoyer lors de son banquet de mariage, lance la révolution sexuelle. Chaque pore de sa peau, mise à nu sous le soleil exactement, exulte et exalte. La créature du bon Dieu est faite pour être aimée, pour aimer. Et le scandale s’attache désormais à ses pas. Vadim enjoint à la Juliette qu’elle incarne de s’amouracher du personnage de Michel, et Brigitte aime pour de bon son partenaire, Jean-Louis Trintignant, avec lequel elle s’installe dans une chambre de l’hôtel de l’Aïoli, aujourd’hui Le Yaca. Dans le petit univers crispé du cinéma français de la fin des années 1950, Brigitte donne des palpitations à la pellicule. Elle la fait vivre, virer, virevolter, vibrer, vibrionner, vivifier. Une première sortie en salle a lieu en novembre 1956. Le public boude le petit film sans vedettes, sinon Curd Jürgens, acteur allemand qui, venu tourner quatre jours, a demandé que le nom de sa partenaire figurât à côté du sien, au-dessus du titre. Le producteur, Raoul Lévy, décide illico presto de distribuer le film outre-Atlantique. Rebaptisé « Et Dieu créa la femme et le diable créa Bardot », il y suscite un tapage sans précédent. Lévy ressort en France le film auréolé de soufre, c’est un raz de marée. En quatre-vingt-quinze minutes, dont la moitié sur les plages de Saint-Tropez, Brigitte devient un sulfureux objet de désir, l’actrice la plus convoitée de la planète, aux côtés de miss Monroe, avec laquelle elle est présentée à la reine d’Angleterre.

Le film est un ouragan qui décoiffe la France des années 1950

Sous la pression médiatique, elle se coule, d’emblée, dans la peau d’un mythe féminin et d’un emblème sexuel à nul autre pareil. Et, pourtant, qui sait que, à aucun moment du film, on ne voit, pardon, les pointes de ses seins ou la raie de ses fesses ? Bronzant sans rien, elle est allongée de profil, ou en transparence derrière un drap blanc, ou moulée dans une robe-tablier trempée. Brigitte est Juliette, révoltée contre l’ordre établi, prenant ce qu’elle aime, aimant ce qu’elle veut, voulant la paix, prônant l’harmonie et choquant le bourgeois. Elle y aime déjà les animaux, symbolisés par son lapin Socrate, auquel, clin d’œil, elle rend la liberté dans une vigne. Le film est un ouragan qui décoiffe et change la donne sociale, politique et économique de la France du milieu puis de la fin des années 1950. Alors se dressent les jaloux, les conservateurs, les médiocres, les peine-à-jouir, les vieux et les jeunes crabes que son personnage, sa personne, sa personnalité indisposent. Dès son premier grand film, Bardot ne demande rien à personne. Elle est, poupée de chair et de sons. De quelque côté qu’elle se tourne, dans n’importe quelle pose, même quand elle n’en prend pas, les photographes commentent qu’« avec elle tout est beau, tout est beau partout ». Dans la foulée de Bardot s’installant, honnie et idolâtrée, dans l’Olympe des dieux et des déesses, Charles de Gaulle entre à l’Elysée. De Gaulle et Bardot sont les deux Français les plus connus de la planète. En plein boom de la société de consommation, le Général sait que l’actrice rapporte plus de devises que la régie Renault. L’actrice admire le Général. Grâce à eux, l’Hexagone rayonne sur les deux hémisphères. Et Brigitte, seins dressés vers le ciel tel des obus, devient une icône inouïe et insensée. Elle est Marianne. Copiée, scrutée, espionnée, pourchassée, persécutée, adulée, elle enchaîne les comédies pimpantes montées sur son sex-appeal, où elle incarne une jeune Française délurée, suave et savoureuse, qui torpille l’idée du péché capital, tord le cou à la culpabilité dans le plaisir. Dans « Une Parisienne », comédie exquise qu’elle adore, « Voulez-vous danser avec moi ? », où elle croise Gainsbourg sans le voir et court vêtue, elle effraie la Centrale catholique du cinéma et remplit les fauteuils. En 1958, alors qu’elle tourne « La femme et le pantin » en Espagne, sa mère déniche un hangar à bateau lové au creux de la baie des Canoubiers, à quelques encablures du port de Saint-Tropez. Brigitte fait le voyage pendant sa journée de repos et signe l’acte d’achat de la Madrague, où il y a ni eau ni électricité. La maison de plage focalise l’attention des admirateurs, qui sautent le mur, multiplient les photos et traquent Brigitte comme un animal. A la même époque, « Les bijoutiers du clair de lune », « En cas de malheur » et « La vérité » la montrent victime de la folie des hommes et l’établissent dans la peau douce d’une créature plus grave. Objet (et victime) d’une curiosité maladive et délirante, elle révèle en ces drames une vraie nature de comédienne, habitée, bouleversante, frémissante, frissonnante. Dans la grande scène du film de Clouzot, son personnage, Dominique, se défend devant un tribunal, mais chacun sent bien que c’est Bardot qui plaide sa cause. La société bien-pensante s’acharne sur la femme libre. Brigitte irrite d’autant plus qu’elle se soucie comme de sa première combinaison de dentelle du qu’en-dira-t-on. Cœur généreux et âme juste, elle croit en l’innocence des Rosenberg et distribue des tracts à Orly. En pleine guerre d’Algérie, elle refuse d’obtempérer aux demandes de rançon de l’OAS, qui, par deux fois, tente de lui extorquer de grosses sommes d’argent. Elle adopte un âne pendant « Les bijoutiers », un canard et un chien pendant « Viva Maria ! », une chèvre pendant « Colinot » et vit au milieu d’une véritable arche de Noé. Découvrant l’horreur des abattoirs, elle milite auprès de Roger Frey, ministre de l’Intérieur, pour le pistolet électrique. Et annonce son engagement lors de la plus importante émission de télévision d’alors, « 5 colonnes à la une ». Le pays découvre la plus célèbre des stars de la planète en larmes, réclamant moins de cruauté à l’encontre des animaux. Brigitte déclare qu’elle a certes porté de la fourrure, mais qu’elle était conne et qu’elle cesse de manger les animaux, bourrés de toxines, pour ne pas digérer leur agonie.

La relation avec son fils, distendue, reste douloureuse, même si tous deux se reparlent

Elle affiche ses maris, on en compte quatre, et ses amants de passage. Elle en compte dix-sept, en change, dans la joie et la bonne humeur. Mère d’un petit garçon, Nicolas, elle en laisse l’éducation à son père, Jacques Charrier. Elle a vécu sa grossesse couchée, volets clos en raison des photographes la guettant depuis l’autre côté de l’avenue Paul-Doumer. La relation mère-fils, distendue, reste douloureuse, même si tous deux se reparlent, et, surtout, elle ne regarde qu’eux. Brigitte passe le plus clair de son temps à Saint-Tropez. Les magazines répandent à l’envi l’image d’une créature magnifique à la chevelure ébouriffée qui, lorsqu’elle ne tourne pas sur les plateaux de cinéma, vit comme d’autres bronzent, en regardant en face les rayons et les ombres de ses soleils intérieurs. De perpétuelles vacances éclaboussées de soleil. Au calme après les guerres du Vietnam et d’Algérie, avant l’apparition du sida et du terrorisme, la France de Pompidou puis celle de Giscard, connaissent paix et prospérité. Brigitte traverse cette époque bénie avec le cœur à chanter, sa récréation, aime-t-elle à dire. Elle interprète, sur fond de notes yéyé, des airs drôles et acidulés qu’orchestrent des shows de fin d’année établissant des audiences record sur l’unique chaîne de télévision. Jouant en des films très bien, assez bien et moins bien, de « Vie privée » aux « Pétroleuses » en passant par « Le mépris », « Boulevard du rhum » et « L’ours et la poupée », elle donne le ton et le goût d’une époque en 48 films et 80 chansons. Le pays ne connaît pas la crise. Le chômage n’existe pas. Maria Callas, Luis Mariano et Sylvie Vartan cohabitent. Brigitte respire l’air du temps. Un temps de vacances à ne jamais ranger dans des valises, un temps de bonheurs multiples et de plaisirs simples, un temps d’insouciance, voire d’inconscience, un temps semblant avoir suspendu son vol. Comme si les horloges s’arrêtaient sur une période de grâce. Las, soumise à une traque permanente, Brigitte a tenté de se suicider. Elle qui, contrairement à ce qui est souvent dit, aime le cinéma et se plaît à tourner, décide de baisser les bras. D’autres horreurs l’écœurent : chasse, vivisection, expérimentations, corrida, gavage des oies et des canards, toutes les formes d’abattage, massacres, présence d’animaux dans les zoos et les cirques. Au firmament de sa beauté et de sa célébrité, comprenant confusément qu’il faut savoir se retirer à temps et surtout désireuse de venir en aide à la détresse animale, elle choisit d’arrêter le métier. Passant devant une glace lors du tournage de « Colinot trousse-chemise » à Sarlat, elle ne rit pas de se voir si belle en ce miroir. Se trouvant ridicule en costume de châtelaine moyenâgeuse, en une seconde elle choisit de décrocher. « Je me suis vue, je n’étais plus ce que j’étais. J’ai pensé que cela suffisait. » Se tournant vers son agent et amie Olga Horstig, elle lui enjoint de ne plus accepter aucun scénario. C’est son dernier film. En 1973. A la veille de ses 40 ans. Les agents de Marlon Brando proposent 1 million de dollars pour tourner avec lui, elle décline la proposition. Brigitte, désormais, s’en fiche. Poussée par une force mystérieuse, droite comme une danseuse, elle se lance dans la protection animale en créant une fondation qui porte son nom, rapidement reconnue d’utilité publique. Sans regrets, Brigitte débute ainsi une autre vie. Ce qui, on le devine, est une autre histoire qui la grandit et la magnifie. Et même si tous ses fans d’hier partagent et soutiennent son magnifique combat d’aujourd’hui, la nostalgie reste ce qu’elle était. Le train Bleu de Saint-Raphaël a emmené Brigitte à la fois très loin et très près de cette petite plage en laquelle elle reste enracinée, statufiée pour l’éternité. Il nous a emmenés avec elle, vers l’automne, la grisaille, retrouver les villes sous la pluie. Et c’est triste et c’est sublime, aujourd’hui, quand on pense à la saison du soleil et des chansons, avec tous ces souvenirs, sur notre jolie petite plage, seuls mais pas abandonnés, avec Brigitte. Au milieu des coquillages et des crustacés.

Henry-Jean Servat est l’auteur de « Bardot, la légende », éd. Hors collection.

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La manifestation anti-corrida tourne mal près de Tarbes

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Monsieur Valls, vos "miliciens...CRS" massacre des manifestants! quelle honte!

Vous êtes inapte à rester le 1er "sinistre" de cette France qui perd la boule!

En un mot comme en 100...CORRIDA...B A S TA !

...

Un groupe de militants a envahi les arènes de Maubourget pour empêcher la tenue du spectacle. Les forces de l'ordre ont dû intervenir. L'opération a fait quatre blessés dont un homme toujours à l'hôpital.

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Reportage dans le journal de France 2 de 13h00, allez directement à 11mm et 04s : http://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/13-heures/jt-de-13h-du-dimanche-24-aout-2014_671603.html

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